Quantin

Publié le par Valentin

Aprés avoir longment attendu la sortie de son album (oui je sais je met l'article très lonngtemps après mais se qui compte c'est de le mettre !) eh ben comme on peut s'y attendre je l'ai acheter ! Et je suis content de l'avoir fait !
voici le clip :
 


et  voici une interwiou de lui:


Quentin Mosimann a beau avoir gagné la 7e édition de la Star Academy il y a quelques mois à peine, la vie de château semble déjà bien derrière lui. Son single Cherchez le garçon est partout et Duel, son premier album sorti en août, s’est directement propulsé en deuxième place des classements français et en tête des charts album en Belgique ! On n’avait plus vu pareil exploit de la part d’un chanteur sortant de la Star Ac depuis Jenifer en 2002 ! Starlounge a rencontré ce jeune artiste bourré de talent et d'humour, et dont la carrière s’annonce très prometteuse !


Starlounge : Dans Duel, ton premier album, on découvre deux univers complètement différents. Peux-tu nous en parler ?

Quentin Mosimann : Avant de participer à la Star Academy, j’étais d’une part pianiste dans les restaurants et clubs de jazz et DJ dans des discothèques d’autre part. Je produisais également certains titres électro avec mes potes sous le nom de Hot Vocation.

On a pu retrouver cette dualité dans la Star Ac, car les seuls moment où on pouvait me voir m’épanouir sur les primes, c’était lorsque je chantais avec Michael Buble, Paul Anka ou Peter Cincotti dans un registre jazz ou quand je mixais, dans un délire plus électro.

STL : C’est assez audacieux de sortir un double album, comment le label l’a-t-il pris ?

QM : Après la Star Ac, j’ai expliqué au label que s’il fallait des compositions pour l’album, alors il fallait que je prenne mon temps. Ce à quoi ils m’ont répondu qu’il fallait faire vite. Au même moment, j’avais mis une reprise jazzy de Téléphone, Ca c’est vraiment toi, sur mon MySpace et j’ai voulu partir plus loin dans ce concept.

Ensuite j’ai rencontré Thierry Faure et Ilan Abou qui m’ont proposé un projet de reprises années 80. Parmi les titres qu'ils ont évoqué, il y en a certains que je connaissais et que mixais lorsque j’étais plus jeune dans les soirées de mon village, mais je ne pensais jamais chanter ! Alors je suis parti dans ce délire et j’ai kiffé grave !



STL : Ca ne te frustre pas de ne pas avoir sorti tes propres compositions pour te dévoiler après la Star Ac, qui est quand même assez formatée ?


QM : Oui carrément, mais il ne faut pas se voiler la face. Je suis conscient que, sortant de la Star Academy 7,  le succès va en régressant. On a très peu entendu parler des deux derniers gagnants. Je ne vois pas pourquoi le troisième, on en entendrait plus parler ! Je me suis dit « vite, il faut que je sorte cet album ». Sauf que si c’est de la compo, je veux prendre mon temps quoi qu’il arrive car je refuse de chanter quelque chose que l’on m’impose. Je suis donc parti dans mon concept de reprendre des titres des années 80 version big band et électro. Au début j’étais persuadé que ça serait super facile, mais je me suis fait avoir ! Arranger 24 titres électro à trois, ce n’est pas évident ! C’est une charge de travail qui m’a pris tout mon temps. Rajoutons à ça la tournée Star Ac, la promo, les plateaux télés…

STL : Est-ce que tu parviens encore à poursuivre ton activité de DJ ?

QM : Oui, j’ai d’ailleurs gardé toutes les résidences que j’avais avant de rentrer à la Star Ac dans des boîtes de nuit en Espagne, à Ibiza, en Suisse, en Allemagne et à la Côte d’Azur, sous le pseudo John Louly. Je tiens à continuer ça et j’ai encore plein de dates prévues. C’est marrant parce que ça arrive souvent que les gens se demandent « qu’est-ce que fout le type de la Star Ac aux platines ? », mais au bout d’un moment ils se rendent compte que ça fait des années que je fais ça.

STL : Quel fut ton meilleur moment au sein de la Star Academy ?

QM : Il y en a tellement… Mais j’ai envie de dire la victoire. C’était énorme !

STL : Le pire ?

QM : La rencontre d’une petite fille malade dans un hôpital. Elle me faisait énormément de peine et c’était d’autant plus difficile parce qu’il y avait des caméras qui nous suivaient. En même temps on était venu leur apporter des cadeaux donc c’était un beau moment.

STL : Ton plus grand moment de solitude ?

QM : Je suis un grand solitaire. Même si je suis très à l’aise avec les gens et la foule, j’ai besoin d’être seul. Dans le château je me suis souvent isolé, surtout pour travailler.

STL : Tu as énormément de fans et il semble que tu tisses un véritable lien avec eux. Comment cela se passe ?

QM : Je les connais bien. J’ai un forum qui compte plus de 17 000 membres et je leur fixe des rendez-vous selon les villes où je me trouve. Que ce soit à la gare, dans un McDonald’s,… On se rencontre et je leur confie même des petites missions.

STL : Ah bon ? Quel genre ?

QM : On est des potes-fans. La mission c’est d'agir en tant que potes et non fans. Donc on se retrouve et on discute, on fait quelques photos mais l’essentiel c’est vraiment d’interagir d’égal à égal.

STL : Y a-t-il d’autres projets que tu as, un rêve que tu aimerais réaliser ?

QM : Je suis en plein rêve, je te jure ! J’ai la chance de pouvoir rencontrer des gens, de kiffer chaque moment. La seule chose que je puisse espérer, c’est que ça dure. Je ne sais rien faire d’autre que la musique donc… Quoi qu’il arrive je continuerai à faire de la zik !

STL : Ta dernière folie ?

QM : Je ne suis pas quelqu’un qui fais des folies…  Je ne suis pas branché fric… A vrai dire, le fric me fait plus gerber qu’autre chose ! Mais pour répondre à ta question, je dirais que c’est ma télé. Je l’ai acheté récemment et elle est énorme ! Dans un registre non matériel, je dois dire que ma dernière grande folie, c’était la rencontre potes-fan au McDo de Paris. On s'est retrouvé là à plus de 200 ! C’est assez fou parce que j’y vais tout seul… D’ailleurs mon label déteste quand je fais ça car c’est dangereux ! Je prends un risque énorme, mais j’aime vivre en prenant des risques…

une derrnière chose :bonne chance quantin !!!
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article